Vos interrogations, nos réponses...

Mesure de la séquestration de Co2
Suivi de la piste d'audit
Reconnaissance et utilisation
1. Qui est en charge du calcul de la quantité exacte de tonnes de Co2 séquestré ?
La quantité résulte d’un algorithme développé par le département de recherches scientifiques de l’université de Polytechnique de Milan. Cette compétence provient d'une recherche réalisée, pendant plus de 2 ans avec des mesures in situ des évolutions des plantations de bambou. L’algorithme produit est breveté sous le n° 102022000002483 par BAMBOOPRO, associé fondateur de CARBONEUTRE.
2. Comment l'algorithme a-t-il été développé ?
L’institut de recherches scientifiques, après avoir étudié et challengé les diverses littératures scientifiques sur le sujet, a conforté son analyse par de nombreux relevés de données (ex : quantité de biomasse générée, mesure du réseau souterrain de rhizomes, etc.) réalisés sur les plantations existantes de bambou géant, créées à partir de l’espèce Moso (géant) Edulis (comestible).
3. Quelles sont les grandes composantes de l’algorithme ?
L'algorithme prend en considération : la surface de plantation, la densité (avec un minima de 1.200 plants / hectare) et le nombre d’années du projet environnemental.
4. Comment apprécier la fiabilité de l'algorithme ?
Si le nombre reste conventionnel, l’erreur vis-à-vis du réel est considérée comme marginale car l’algorithme développé par le département de recherches scientifiques de l'Université Polytechnique de Milan s’appuie sur les hypothèses les plus basses, dites “ prudentielles ”, en matière d’absorption référencées dans les différentes situations des plantations de bambou géant Moso Edulis. Enfin, cet algorithme a été d'une part approuvé par RINA en termes de conformité internationale ISO 14 064 dédiée à la quantification des EGES et audité par Bureau Veritas en matière d'équation et de méthodologie d'autre part.
5. Quel est le mécanisme prudentiel de gestion des risques ?
Premièrement, 2% sont déduits au titre de tolérance supplémentaire ; puis 17% sont déduits pour être alloués à un fonds de gestion des risques, visant à garantir sur le modèle sur le LT. Le nombre de tonnes de Co2 restant est ensuite certifié afin d’être vendu à des compagnies émettrices de Co2 sur le marché volontaire de la compensation carbone.